Le rallye en images

 

 

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 Entre deux océans, l’aventure extrême
Le pick-up Nissan d’Olivier file dans à vive allure dans le désert chilien lors de la spéciale reliant Valaparaiso à la La Serena. De la pampa argentine, en passant par la cordillère des Andes, jusqu’au désert de l’Acatama, les concurrents du Dakar « ont fait provision de superbes images » pour reprendre l’expression de Pascal Giraud.

 

 

 

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 A l’autre bout du monde

Paul Crepet et Guy Bouche dévalant les dunes du désert de l’Atacama. L’aller-retour jusqu’à Buenos Aires, en passant par Valparaiso, constituait un défi dans lequel les sportifs les plus endurants ont trouvé une opportunité de se distinguer. Mais sur les 5591 kilomètres de spéciales initialement prévues, 1179 ont été annulés soit 21% du parcours. Les organisateurs avaient sous-estimé la difficulté du terrain et les caprices de la météo. Malgré tout, l’édition 2010 pourrait avoir pour décor le Brésil et l’Argentine.

 

 

 

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 Toutes les bonnes choses ont une fin
Remorqué par un camion d’assistance, le pick-up d’Olivier Ginon et de Pascal Giraud fait son entrée sur le bivouac de la Serena. Fin de l’aventure pour les deux amis après 8 jours de course épique.

 

 

 

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 Incrédulité et déception
Olivier et Pascal connaissent déjà le diagnostic de leur mécano mais ne veulent pas y croire. Après une semaine de galères mécaniques, le moteur de leur Nissan a définitivement rendu l’âme.

 

 

 

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 Convivialité arrosée
Merlot chilien, Pommard français, rosette lyonnaise et jambon fumé… Sur le bivouac de Copiapo, Olivier Ginon et ses amis ont fait une démonstration de fair-play et de savoir-vivre.

 

 

 

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 Jusqu’au bout de la nuit
Une fois les concurrents rentrés à bon port, une autre course contre la montre s’engage pour les mécanos de MD Rallye qui disposait de trois camions et de deux autos d’assistance. Il s’agit de remettre en état les 10 véhicules avant 6h du matin. Une cadence infernale surtout quand certains pilotes finissent par regagner le bivouac entre 2h et 5h.

 

 

 

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Femmes aux commandes
La préparation et l’assistance des véhicules du team ANSA était assurée par Maryse (à gauche) et Dominique qui avaient également la responsabilité de 6 autres véhicules (motos, autos, quads) et de la moto de Pascal Terry. Dans le Hummer d’assistance de l’écurie MD, le doc Jacqueline Ginon (à droite) a assuré le suivi médical des concurrents du team ANSA. Certains d’entre eux seraient devenus addict au Red Bull.

 

 

 

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Une armada impressionnante

Le bivouac de Copiapo dans le Nord du Chili. 194 autos ont pris cette année la direction de l’Amérique du Sud. La majorité par bateau, les plus riches en avion cargo. Dans cette escouade on comptait également 235 motards (dont Cyril Després), 30 quads et 84 camions.

 

 

 

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 Un succès populaire inimaginable
Du premier jour à Buenos Aires (où 500 000 spectateurs ont assisté au départ du rallye) jusqu’au fin fond du désert de l’Atacama, le Dakar a rencontré un accueil dithyrambique de la part des Argentins et des Chiliens. Dignes des étapes mythiques du Tour de France.

 

 

 

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Ambiance guerre du Vietnam
Quatre hélicos Bell de l’Armée chilienne assuraient la surveillance des 900 véhicules (concurrents + assistance) engagés sur le rallye. Auxquels s’étaient joints les 3 machines de France 2 et celle de l’organisation.
 
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 Conditions spartiates au bivouac

Plus de 2000 personnes campent tous les soirs au bivouac. Cabines de douche et toilettes sorties tout droit d’un mauvais film de série D. « On redécouvre sur le rallye les besoins primaires de l’homme ! » assure Pascal Giraud. Impression confirmée… L’espace restauration, en revanche, était parfaitement représentatif de l’esprit Dakar.
 
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 Avant-dernier bivouac pour Carlos

Carlos Sainz, tout sourire, au matin de la 10ème étape. Le pilote espagnol fera le lendemain une chute spectaculaire dans un rio large de 4 mètres, alors qu’il était leader au classement général. Au retour, il s’est retrouvé dans le même avion qu’Olivier et Pascal sur le vol Buenos-Aires – Madrid.

 
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 Ils partirent 543…

…et finirent à un peu plus de la moitié. Nul doute que les concurrents ont essuyé les plâtres de cette version inédite du Dakar marquée par le décès du pilote francilien Pascal Terry, abandonné deux jours dans le désert… L’organisation n’a toujours pas expliqué pourquoi elle avait mis si longtemps à réagir.

 
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 Envoyés très spéciaux

Pour vous faire vivre la course des Lyonnais en live, Jean-Luc et Marco n’ont pas hésité à franchir l’Atlantique. Une belle preuve d’abnégation ! Mais il s’en est fallu de peu pour que leur voyage s’arrête à Madrid. Heureusement, Martine, la bonne fée de Tourinter Evao veillait sur eux…